Légereté de Flux et Reflux

Le coin des poetes...ici tout poemes pourra etre posté et peut etre meme dans un futur proche...recompensé pour leur beauté...( projet a l etude )

Ma douce,

Tu me provoque avec tes beaux yeux
Tu pourras compter sur moi quand tu veux
J'adore ton parfum
Qui sent depuis ta salle de bain
Je ne sais pas quoi dire
Puisque de trop tu m'attire
Mon cœur bat a la chamade
Sans toi je suis malade
Je t'écris ce poème
Pour te dire que je t'aime.

Ton fidèle Dragonnier, Dragonolas .

Ma belle demoiselle,

Je suis qu'un pauvre poète
Qui exprime ce qu'il a en tête.
Par contre tu vaux mieux que moi
Car avec toi il n'existe que de la joie.
Dis une seule parole
Je m'envole.
Ces vers ne valent point
Tes chants que j'entends de loin,
Ces jolies mélodies
Qui m'emmène au paradis.
Ta grande beauté m'éblouit
Par rapport à toi je deviens petit.
Mais si tu as un problème
Saches que je t'aime.
Amour ou Amitié
Je saurai te réconforter.
Dans mes bras, je pourrai te prendre
Et, de toutes mes forces, te défendre.
J'ai trouvé le sens de ma vie
En satisfaisant tes envies.
Il ne faut tout de même pas rougir
Car je veux apercevoir ton joli sourire.

Ton fidèle poète dragonnier, Dragonolas.

J'ai fait le rêve l'autre nuit,
D'une très belle demoiselle.
Je fûs conquis et depuis,
Je ne songe plus qu'à elle...

La lune me demande alors
Jalousant cette petite muse:
"Quel est donc ce mauvais sort?"
Je la regarde et m'en amuse...

"Elle est si belle, lui dis-je...
Lorsque je pense à elle,
Si belle, le temps se fige
Et j'oublie le monde réel."

L'envol

Je ne voulais pas rester là.
Il faisait si beau,
Qu'il y faisait bon de se balader au bord du ruisseau.
J'admirais les oiseaux.
Ils volaient si haut, si haut.
Plus je les regardais,
Plus j'avais l'impression de m'en rapprocher.
Il y avait dans cette prairie,
Des animaux qui débordaient de vie.
Mais je m'étais allongée,
Je me sentais fatiguée.
Je restais là sans bouger,
A sentir ce léger vent sur ma peau,
Et à admirer les oiseaux.
Je n'entendais plus aucun bruit,
Et n'éprouvait aucune envie.
J'aurais voulu lever le menton,
Pour voir la direction qu'avait pris les hérons.
Je restais là sans bouger,
je me sentais si fatiguée.
Le ruisseau me paraissait plus loin,
On aurait dit qu'il était parti dans le lointain.
Pourquoi ne l'avais-je pas remarqué avant,
Quand je sentais encore le vent.
J'aperçu légèrement des cygnes,
Ils semblaient tous me faire signe.
J'aurais voulu m'en approcher,
Pour essayer de les carresser,
Mais je reste là sans bouger,
Je me sentais encore plus fatiguée.
Ce matin je l'ignorais,
Mais maintenant je le sais.
Il n'y a rien de plus beau je vous l'assure,
Que ce que je vois, qui est la nature.
Après avoir senti comme une déchirure,
A présent je ne sens même plus la douleur causé par mes chaussures.
Et pourtant je reste là sans bouger,
Et je ne me sens plus du tout fatiguée.
En fait, je ne sens plus rien,
Malgrès cette blessure dans mes reins.
Je me sens soudain légère,
Et me sent planer dans les airs.
Je crois que je vais prendre la même direction,
Afin de pouvoir rejoindre les hérons.
Si un jour vous passez dans la prairie,
Et que vous me trouvez là sans vie,
Surtout ne pleurez pas,
Car je ne reviendrais pas,
Mais n'oubliez pas de lever le menton,
Car vous ne verrez peut-être pas passer les hérons.

C'était une journée de printemps.
J'avais marché pendant longtemps.
Au hasard, sans réfléchier,
Lorsque ce silence soudain me fit frémir.
Alors avec beaucoup d'attention,
J'aperçu quelques oisillons,
Et entendit le vent souffler,
Et le ruisseau couler.
Je me mis à détailler l'environnement,
Avec un sentiment de découverte et d'étonnement.
Soudain l'impression d'être observer
Me fit basculer.
Sur un talus un peu éloigné,
Se trouvait majestueusement dressé
Une bête d'un pelage brillant,
et aux yeux étincelants.
Calme et reposé,
Il m'observait avec sérénité.
Que devais-je faire,
Ne pas boouger et me taire
Ou bien m'approcher
Afin de le toucher.
Il n'avait pas l'air effrayé,
Mais plutôt intrigué.
Il n'essayait pas de me fuire,
Mais plutôt de s'instruire.
Je ressentais autour de nous tant d'émotion,
Que cela entranait une sorte de tension.
Puis me tournant le dos il poussa un cri,
Ce son me fit tréssaillir
C'est à cet instant que je compris
Que ce moment magique était fini.
Je m'en suis retournée,
Avec cette fois dans mes pensées,
L'image de cet animal si fier.
Le Cerf.

Une étrange nuit

C'était un dimanche,
Et le vent soufflait dans les branches.
Je marchais dans la nuit.
Il n'y avait pas un bruit.
J'avançais au hasard,
Pensant à ce que j'allais faire plus tard.
Je ne pensait pas le rencontrer
Cette enfant effrayé.
Il avait un visage d'ange.
A genous, à côté d'une grange,
Il paraissait aussi affaibli
Qu'un oisillon sortant de son nid.
Alors je me suis approchée,
Afin de le consoler.
Il avait des yeux clairs,
Si clairs que l'on y voyait le monde à travers.
J'avais tendu la main pour caresser sa joue,
lorsqu'il y eu un crissement de roue.
Dans cette nuit noire derrière moi, je n'ai rien vu,
Mais en refaisant face, l'enfant avait disparu.
Je ne sais pas d'où il venait,
Ni ce qu'il faisait,
Il était simplement là dans le froid,
Et je ne saurais jamais pourquoi.
C'est alors qu'une étrange pensée
Me fit croire que je l'avais rêvé.
Que cet enfant qui m'avait donné tant d'émotion,
N'était que le fruit de mon imagination,
Où peut-être une apparition.
Mais quel en était la raison ?

Message pour notre consule adorée

Pour raconter une histoire,
Le dictionnaire est ton savoir.
Pour jouer sans peine,
Il te faut une scène.
A partir de maintenant,
Faisons semblant.
Il faut d'abord que tu souris,
Pleure, grimace etc
Ensuite parle,
Sans regarder ton orteil
Où tu seras bancal
N'oublie rien car on t'écoute,
Au trac tu diras non
Et l'auditoire applaudira.
De la finale il ouvriront le bal.
Finir de faire semblant
Numérotes les lignes maintenant
De la ligne 7 à 15 tu relèves la dernière lettre.
Dis moi, que vois tu apparaitre ?

L'essence du sentiment d'amour ( Par Sajinie )

Plus puissante que la faim...
Plus imperieuse que la volonté...
Plus dominatrice que tout ce qui peut existé
C'est avant tout un enchantement divin
Un envoutement contre lequel on ne peut rien
Un charme d'une intensité inimaginable
Implacable, il nous accable

L'essence du pouvoir d'amour est un chant
Qui commence par un faible appel d'un esprit
Auquel on repond, sans etre mefiant
Puis alors commence une melodie
Dont l'intensité varie selon les esprits
Quand la melodie commence a se faire chant
On comprend alors la trame des evenements
A ce moment du chant c est le dernier moment où
Rompre le tissage de l'amour fou
Si cependant, pendant un instant, l'esprit conscent
L'ame entonne le chant pleinement
Et c est par ce lien magique que l'ame de l'inconnu
Se lie a la notre ,en l 'enlacant pour la maintenir tenu
Et chante tout le chant dans un parfait accord
Pour que jamais ,l'amour ne devienne remords
[center]

Petite ficelle rouge au son si distrayant.
Capture les monstres et les cochons volants.
Que les couleurs qui sortent de ma tête
S'éteignent dans ta douce cachette.

Qu'enfin le trouble de mes rêves
Fasse une courte et douce trêve.
Sur ma peau nue ta seule soie
Drapera le chemin de ma voix.

Que les hurlements de la nuit
Finisse dans ce petit bruit.
Tintement de la clochette
calme ce corps en fête.

Illumine mes yeux de ton charme
Après trois semaines de larmes.
Viens dans ce lit maudit
Devient le gardien de ma vie.

Pitié laissez moi enfin dormir
Je suis à deux doigts d'en mourir
Démons de mes vies passées
Cesser de me torturer.
Je ne sais pas pourquoi
J'ai du oublier tout ça.

La déchirure

On ne peut la toucher,
Mais elle sait quand frapper.
Elle nous a tous surpris,
Comme un cri dans la nuit.

Quelque soit la forme ou la taille,
Elle revient toujours à l'attaque.
C'est une éternelle bataille,
Sans arrêt elle nous traque.

Qui peut prévoir ses interventions,
Provoquant parfois une dépression.
On se passerait volontiers de ces sensations,
Avons-nous besoin de tant d'émotion !

Elle porte bien son nom,
Et l'on en connait les raisons.
Fatalité, déception, trahison,
Tels sont ses surnoms.

Mais quel est ce monde effrayant,
Où l'on ne peut vivre s'en être insouciant,
Tel un enfant.
Ceci me révolte en y pensant.

Pourquoi tant de mensonge,
Alors que c'est au bonheur que l'on songe.
En tout cas je vous l'assure,
Elle nous frappe tous la DECHIRURE.

Vague à l'âme

L'éclat de la lune
parait si pale
il y en a pourtant qu'une
Je me sens mal

l'algorithme
de la vie qui me rythme
de mon âme mystique
je ne vois aucun tic

Le ciel est noir
vague mon âme
Dans le froid des trottoirs
J'ai le vague à l'âme

Le silence qui rode
Sur ce chemin d'incertitude
Je fredonne une ode
Par habitude

L'éclat de la lune
parait si pale
il y en a pourtant qu'une
Je me sens mal

Vu sous la lune
Le ciel est plus pure
La vision des dunes
Et le froid est si rude

Parle moi de toi
Le silence est là
Dis moi, écoute moi
Je resterai là

Chang d'horizon
Au delà des cieux
Donne moi une raison
Pour rester parmi eux

Par habitude
J'ai pris ce chemin
D'incertitude
Mais mon âme est chagrin

Dessous la brume
La vie s'est brisée
Légère comme une plume
Dans la nuit je déambule

Revient dans mon ombre
Parle moi, je crois
A la folie du nombre
J'ai besoin de toi

Retient moi, je pars
Mon esprit divague
Mon âme dresse les remparts
Plongeant dans les vagues

Je pars et ne regrette rien
A part nos lendemains...

Réveiller le monde
Réveiller l’humanité
Libérer les colombes
Dans un geste d’humanité

J’appelle au grand nombre
En toute sécurité
Le droit de répondre
Sur un pied d’égalité

Révéler au monde
La paix et la fraternité
Pour quelques secondes
Au nom de la liberté

Pour changer le monde
Découvrir l’humilité
Répandre dans le monde
La sagesse et l’amitié

Le pouvoir de l’humanité
Sur un pied d’égalité
Dans la paix et la fraternité
Nous fait vivre en toute sécurité